10 ans – 10 groupes

GRANDE SALLE / electro pop

ANGL est un duo electro-cold pop valentinois créé en 2017. Le duo joue avec les mélanges de genres, allant de Kavinsky à Björk, pour nous envelopper dans une vague froide de synthétiseurs organiques. S’inspirant du cinéma de Winding Refn, Leos Carax ou encore Lynch, la musique de ANGL a une portée cinématographique, chargée d’images oniriques. ANGL évolue dans une esthétique expressionniste Robert Wienesque où les lignes acérées évoquées par le son des machines inscrivent la musique dans une réalité déformée, teintée de mélancolie, mêlée à la volupté de chants suaves.
Le duo sortira son premier EP, « Les jours d’Orage », le 7 avril 2018 sur toutes les plateformes streaming.

GRANDE SALLE / electro – pop – rock – experimental

En dix ans d’existence, accumulant les collaborations et productions extérieures, traversant modes et courants, variant sa géométrie et cultivant une image singulière, Piano Club a défini sa signature sonore.

Avec leur 3ème album Fantasy Walk, le groupe tente de transformer le convenu en inattendu en distillant un élixir de pop moderne, combinaison d’influences eighties assumées et de mélodies astucieuses empreintes d’obsessions cosmiques.

CLUB / techno house

Pionnier de la scène stéphanoise, Izwalito mixe depuis le début des années 90. Profondément attaché au son de Detroit, c’est aussi un expert en musique industrielle. Aux platines il fait retentir comme personne le chant de la machine, privilégiant des sonorités mécaniques souvent minimalistes, sans jamais s’éloigner du groove.

CLUB / electro house

Formé en 2012, Losless est un duo de producteurs français né de la rencontre entre Benjamin Charriere et Etienne Laurent. C’est en alliant leur passion pour la musique électronique et le désir d’expérimenter de nouvelles sonorités qu’ils produisent leurs premiers EP’s rapidement signés sous différents labels européens tels que “Freegrant Music” ou “Majestic Family Records”. A mi-chemin entre musique expérimentale et techno minimaliste, c’est avec singularité que Losless explore en live ce savant mélange de styles.

Vous n’avez pas pu échapper à son tube planétaire « Domino » … Le profilique Oxia, producteur, DJ, aux commandes du label Diversions Music, distille sa techno infusée de références pointues funk et disco. Des plus grands clubs d’Ibiza aux Boiler Rooms, le voici débarquant au fil !

GRANDE SALLE / electro

Danger découvre la musique à travers les bandes originales de films et les thèmes de jeux vidéo ; il cite notamment pour influence Capcom et Konami, les réalisateurs Steven Spielberg et Stanley Kubrick, Goethe, Jean Michel Jarre, Herbie Hancock, Jean-Sébastien Bach, les compilations Thunderdome et John Carpenter1. Il débute sa carrière comme designer graphique et conçoit un comic book sous le pseudonyme de Danger. Après avoir étudié le saxophone et le solfège durant huit ans, il se passionne pour la musique électronique lors de la découverte d’un synthétiseur analogique virtuel.

GRANDE SALLE / house – DJ set

CLUB / electro – pop dans le cadre de Fair : le tour

Vent de fraicheur sur la pop française avec lnüit, jeune groupe Nantais repéré par le Shoes Benjamin Lebeau,
Ils sont six, ils jouent en attaque comme en défense à la manière d’Ar­cade Fire, et c’est la jeune chanteuse, Coline, qui est venu structurer il y a près de deux ans l’aventure entamée au départ entre les cinq amis d’enfance

Leurs mé­lodies sont énergiques aux influences aussi diverses que Radiohead, Björk mais aussi teintées d’électro et de r’n’b.

CLUB / pop-rock

Petit Fantôme est le pseudonyme évasif et mystérieux de Pierre Loustaunau, multi-instrumentiste intrépide longtemps émancipé par le collectif et désormais entièrement dévoué à son projet solo lancé en 2006 – un premier titre paraît sur une compilation cqfd des inrockuptibles. Pendant longtemps, jusqu’à la tournée piano ombre (2014), Pierre a été l’un des rouages essentiels de Frànçois & The Atlas Mountains, une aventure amicale autant qu’artistique.

Petit Fantôme serpente entre pop romantique et noisy brumeuse, passant de l’une à l’autre avec une agilité déconcertante et une aisance désarmante.

CLUB / post punk – dans le cadre de Fair : le tour

Encore inconnus sur la carte du rock, les Français de Cannibale doivent leur nom au fait qu’ils pratiquent « une sorte de garage réunionnais » où la moiteur tropicale du groove bouffe lentement toutes les idées reçues sur ce que devrait être une sortie Born Bad (des Blousons noirs écoutant Johnny…). Si cannibalisme il y a sur « No Mercy of Love », c’est donc plus en référence aux rythmes caribéens qu’on entend parfois, ainsi qu’à ce psyché de cambrousse, qui font de leur album une sorte d’anomalie au pays des 35 heures.